Mois sans tabac : suivez le kit pour arrêter de fumer

Ma santé

Le #MoisSansTabac est une opération conçue et pilotée par Santé publique France en partenariat avec le ministère des Solidarités et de la Santé et l’Assurance-maladie depuis 2016.

Qu’est-ce que c’est ? « C’est un élan collectif pour inciter les fumeurs à arrêter tous ensemble pendant 30 jours », rappelle la Fédération addiction. Car « en arrêtant de fumer pendant 30 jours, vous multipliez par 5 vos chances d’arrêter définitivement la cigarette », explique Santé publique France.

Comment ça marche ? En vous inscrivant, vous bénéficiez de nombreux outils et conseils pour vous aider à arrêter de fumer. Le fait de ne pas être seul et de se faire accompagner augmente les chances d’arrêter durablement. Avec #MoisSansTabac, vous pouvez « bénéficier du e-coaching gratuit et à portée de main avec votre application Tabac info service » ou encore « profiter d’un suivi téléphonique avec un tabacologue au 39 89 ».

Le kit 2022. Vous trouverez aussi un kit pour vous aider dans votre démarche personnelle. La nouvelle version de cet outil d’assistance au sevrage du Mois sans tabac est disponible pour les nouveaux inscrits. Il est composé de 4 éléments. N’hésitez pas à le télécharger :

– Le livret « Programme 40 jours » qui propose des conseils et défis quotidiens pour préparer son arrêt pendant 10 jours et maintenir son arrêt pendant 30 jours ;

– « La roue des économies » qui permet de simuler les économies réalisées lors de l’arrêt du tabac. Par exemple, vous découvrirez que si vous fumiez 10 cigarettes par jour, vous économiserez déjà 150 euros en 1 mois ;

– Le dépliant « Outils » qui présente les différents outils Tabac info service et leur intérêt dans le sevrage, comme notamment le site Internet, l’application ou encore la page Facebook# #MoisSansTabac et le compte Instagram Tabac info service ;

– Enfin, le dépliant « Professionnels de santé » fait la promotion du recours aux professionnels de santé dans le cadre du sevrage tabagique et les modalités d’accès.

Source : Santé publique France